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Mouvement de Réflexions et Propositions Citoyennes

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19 mai 2013

Des piliers tombent, des cloisons résistent !

Des murs résistent ! D'autres sont renversés.

Les cloisons montées entre les élites et les peuples semblent à certain moment se fragiliser, mais l'agonie de notre système sera d'autan plus brutale qu'elle mettra du temps à se réaliser.Le pouvoir de l'argent doit avoir ses indicateurs, ses alertes, certainement différentes de ceux des citoyens « normaux ».

Ce pouvoir joue avec le feu, sa maladie l'aveugle. Une société malade de ses repères qui s'en rajoute en établissant comme loi de la république, la confusion des genres, même le plus fondamental que la nature nous a donné et pour certains imposé.

Dans ce débat qui a duré plusieurs mois, sur le mariage homo dénommé par démagogie et provocation « mariage pour tous », la tromperie est grande. Le terme « pour tous » est certes généreux mais pas le bon. A moins que ce ne soit que le début, ce qui est probable et ce qui avait été annoncé par certains au moment du PACS il y a quelques années. A quand la liberté aux mineurs, déclarés arbitrairement ainsi par cette république de s'unir par le mariage. Combien de personnes déclarent accorder une plus grande importance dans leur relation avec le monde animal qu'avec celui des humain qui les a si souvent et si fortement déçu ? Pour ces innombrables personnes le mariage pour tous n'apporte rien, puisqu'il ne cible que les relations homosexuelles.

Ainsi dans ce contexte, être contre est devenu de l'homophobie, comme alerter sur le nombre important d'immigrés est du racisme. Les raccourcis sont saisissants, terrifiants. Dans ce contexte les choses n'étaient pas tellement compliqué pour nos olitiques : au PS on se devait tout naturellement être pour, et à l'UMP très globalement contre. Qu'est devenue la libre conscience de es femmes et de ces hommes qui nous représentent ? Quand au délire des écologistes, il font fi des règles naturelles, c'est un comble. Bientôt ils militerons pour toutes les techniques de manipulation génétiques et autres pour satisfaire quelques homosexuels, humains se réduisant à leur seule forme de sexualité... Bref un mur fondamental de notre société a été abattu par quelques politiques en déroute, mes les cloisons désuètes gauche/droite continue de cliver de façon artificielle l'action politique nationale et européenne.

Prenez le temps d'aller sur le blog de l'UPR et d'écouter es conférence de François Asselineau.

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26 février 2012

La démocratie devenue mythe...

Commençons par rappeler une définition succincte de la démocratie : « régime politique dans lequel le pouvoir est détenu ou contrôlé par le peuple... »

 

La question en vue des élections présidentielles françaises de 2012 se pose plus que jamais. A l'heure où l'on prend connaissance et donc conscience que les français mangent en bonne partie Hallal sans le savoir, on se dit qu'après les affaires de mœurs concernant l'ex futur président de la république française, les OGM et autres transgéniques dissimulés, les gabegies financières à n'en plus finir... qu'est devenu le pouvoir du peuple et surtout sa capacité à contrôler ?

Il ne faut pas demander l'avis du peuple sur la peine de mort ou le nucléaire, car le peuple est populiste et/ou incompétent, cela, on l'avait remarqué depuis longtemps ! Mais constater que l'appât du gain sans scrupule de la part de nombreux décideurs économiques (filière viande dans ce cas) associé à une classe politique collaboratrice et menteuse, nous sommes obligés de nous questionner sur ce qui reste de démocratie.

Il y avait également des mots devenus interdits par le politiquement correct qui auraient dû nous faire réagir, mais bon…il faut aussi une goutte d'eau pour faire déborder la coupe devenue trop pleine! Quand depuis des décennies, nous ne devons plus faire référence à la notion de race humaine, de nation, de peuple, de civilisation, d'identité... force est de constater que les plus grands révisionnistes ne sont pas ceux qui en sont accusés, mais plutôt les inquisiteurs eux mêmes. Comment se porte la démocratie avec de tels interdits ? Aujourd'hui la mode est à l'ethnique, ce mot là n'est pas encore combattu par nos penseurs qui décident à notre place (ou l'inverse). Ils ont dû prendre un peu de retard mais cela ne va probablement pas tarder !

 

Illustrons ces propos…

 

Depuis la seconde guerre mondiale, il n'est plus possible d’accepter l’existence de races humaines ceci afin de lutter contre les négationnistes et pour montrer que les théories raciales des nazis n'avaient aucun fondement. On en est venu à élaborer des discours dominants basés sur une peur, un rejet mais pas sur le rationnel. Aujourd'hui en médecine et en génétique, la notion de race humaine revient...mais depuis 60 ans ce terme était prohibé. 60 ans d'erreurs des bien pensants? de nos élites? Ce paragraphe questionne les générations de politiques qui jouaient un rôle important à cette époque, et les intellectuels qui en ont accepté le principe. Qu'a décidé le peuple sur le sujet ?

 

Tentons de proposer une définition du mot peuple : « il désigne une population en tant que somme des individus qui forment à un moment donné, une communauté historique partageant majoritairement un sentiment d'appartenance durable, sentiment d'appartenance pouvant venir d'un passé commun, d'un territoire commun, d'une langue commune, d'une religion commune ». Cette définition du peuple devient un concept ennuyeux, encombrant. En effet, cela est un pas vers la nation, un pas également vers l'idée de civilisation. Et cela ne va pas du tout dans le sens souhaité par nos élites. Car tout ce qui est fait depuis 30 ans va à l'encontre de ces notions. On veut faire accepter aux peuples, aux nations, qu'ils ne sont qu'une représentation abstraite sans aucun fondement (historique ou scientifique), et que nous sommes en route vers cette globalisation sans frontière, sans limite, sans réglementation nationale qui seraient des freins à la libre circulation des flux financiers et des hommes (avec leur double qualité de consommateurs et travailleurs corvéables car déracinés, désocialisés, déshumanisés...). Non, les hommes sont tous égaux, ils doivent devenir des consommateurs égaux ! Les notions de peuple et de nation, ne doivent plus peser sur l'organisation de notre monde moderne marchand, affranchi de ses origines, de ses racines, de ses différences. Il faut formater, appauvrir culturellement, déconstruire des sociétés millénaires pour faire place à un monde de consommateurs sans Histoire, asservis à la dernière nouveauté. Le monde numérique dématérialisé et globalisé est d'une aide précieuse pour aller dans ce sens (même si certains m'expliqueront que les révolutions arabes de 2011 ont été rendues possibles grâce à Facebook: cette contribution est un peu exagérée et que sortira-t-il de ces révolutions, l'avenir nous le dira...).

Ce dernier paragraphe met en cause la classe politique qui a vu s'unir le pouvoir de l'argent à travers les marchés financiers globalisés initialement soutenu par la droite, et la pensée politique de gauche dans une course idéologique vers la mondialisation. Maintenant, ces acteurs politiques sont passés dans des seconds rôles, mais gardent encore le micro, dictés par l'acteur de premier ordre qu'est le monde de la finance, le monde des marchés spéculatifs. Qui peut m'expliquer comment le peuple d'une nation garde un pouvoir démocratique sur les marchés financiers ?

 

En ayant conscience de tout cela, quel sens garde l'acte d'aller voter pour un candidat qui une fois élu se pliera aux exigences des notations internationales ? Il y a peu encore, je me persuadais que la démocratie était un bien précieux légué à nos générations par des femmes et des hommes qui s'étaient battus pour l'obtenir. Oui, ils étaient passés par des révolutions et des guerres. Que nous reste-t-il à faire pour rétablir la démocratie ? Nos élites nous laisse une situation peu enviable, jusqu'où les peuples occidentaux se laisseront emporter dans une direction qu'ils n'ont pas souhaité ?

8 novembre 2011

Tout et son contraire...

Le libéralisme demande aux états de réduire leurs déficits, donc leur dépenses et pour y arriver, ce système économique qui prône la libre concurrence, interdit le soutient de secteurs d'activités par des aides publiques. Il n'est pas du rôle des États d'être des acteurs économiques car cela engendre une forme de concurrence déloyale. Cela va plus loin, la santé, l'éducation, le social...et bientôt la police, l'armée... doivent se mettre au régime privé et de concurrence. Oui les États doivent procéder aux déréglementations nécessaires pour permettre aux business privées de remplacer le plus rapidement possible les secteurs publics. Bienvenue depuis 20 ans, aux modifications des statuts juridiques de nos grandes entreprises publiques, au revoir EDF, GDF, Renault, la poste pour ne citer que les plus illustres... Oui les États doivent assister sans réaction appropriées, à des désordres multiples, car intervenir ferait d'eux, des ennemis du système libéral.

Ce qui est valable au détriment des peuples, ne l'est plus quand il s'agit de sauver un système monétaire et financier. Là, pour sauvegarder les immenses intérêts de quelques uns, les grands maîtres de la pensée unique du moment, s'accordent à endetter nos États et même sont en train de construire l'endettement de l'Europe! Incroyable contradiction qu'à ce jour je n'ai entendu dénoncer par notre caste journalistique...Qu'en pensent les fameuses agences de cotation ? Pas grand chose d'audible non plus, en tout cas le grand public n'entend pas ces agences mettre en garde l'Europe dans sa nouvelle stratégie d'endettement.

Nous renforçons le concept du « privatiser les gains, nationalisation les pertes », c'est cela le libéralisme...se servir là où il veut, quand il le veut. Dans ces situations, la libre concurrence malade est bien contente de trouver le remède de la puissance publique.

6 novembre 2011

Référundum grècque: Ouf certains ont eu chaud !

Une grave erreur semble avoir été évitée. Un responsable politique de premier ordre a failli rompre la tradition de notre construction européenne anti-démocratique ! Organiser un référendum, demander l'avis d'un peuple sur sa destinée, et puis quoi encore ? Mais monsieur Papandréou est revenu à une pratique plus traditionnelle de notre construction européenne et abandonne son projet de référendum.

Pour la grande majorité de nos dirigeants je veux parler des « marchés » et accessoirement de la classe politique, nous sommes passé tout près d 'une catastrophe. Dans cette période de trouble, l'ex initiative grecque se serait probablement propagée telle une maladie contagieuse, et mortelle... pour la zone « Euro ».

Partie remise...L'Euro bénéficie d'un sursit !

1 novembre 2011

Indignés et PS !!

Les indignés français...

 

ce doit être la fête dans les chaumières au soir de l'élection de François Hollande comme candidat socialiste à la future présidentielle française de 2012 ! Là nous avons la garantie que le système économique ne changera pas, les « élites » peuvent être tranquilles, la répartition des richesses ne sera pas remise en question.

Revenons aux indignés, comment au delà du coté exotique et sympa, faire adhérer les masses à leur questionnement ? Mais quel est ce questionnement ? Comment ces quelques centaines ou milliers d'indignés français peuvent communiquer aux millions de français ?

 

Voici quelques réflexions qui prennent forme de propositions....

 

Il faut poser la question centrale, capable d'identifier ce qui peut regrouper une majorité de citoyens, faire appel au bon sens, à la justice, au respect du plus grand nombre de citoyens possible, bref identifier un plus grand dénominateur commun. Cela me rappel les années collèges en cours de mathématique avec le PGDC ou PPDC !

 

De quoi s'indigner ?

De l'injustice en premier lieux.

Comment s'exprime le plus insolemment l'injustice ?

Dans l'écart croissant entre les plus riches et les plus pauvres, donc dans l'évolution de la répartition des richesses. Que ce soit au sein d'une entreprise entre les actionnaires et PDG et les salariés de base, au sein d'un Etat riche comme la France, entre les continents...partout les inégalités s'accroissent devant les yeux des citoyens que nous sommes...et de nos élus...

Comment au 21ème siècle, est-il possible d'assister à ce phénomène ?

Le monde est devenu globalisé, d'une complexité incroyable où tout se contredit, où plus personne ne semble être en mesure d'agir pour le simplifier, pour l'améliorer. Le monde est administratif, bureaucratique, financier, il ne répond presque plus qu'aux logiques des marchés dématérialisés de la spéculation...que reste-t-il de l'homme dans ce monde ?

Existe-t-il devant cette situation si complexe, un pouvoir d'agir des citoyens ?

OUI, c'est justement redonner la priorité à l'humain, à la solidarité, à la justice, à commencer par le respect de notre mère nourricière, notre planète. Exigeons de nos élus, dès le niveau local, qu'ils s'engagent à réinterroger les systèmes de valeurs de notre société. Cet exercice, véritable examen de conscience leur permettrait de retrouver un rôle politique en accord, pour la majorité d'entre eux, avec leur propre humanité.

 

Ainsi, je propose comme Plus Grand Dénominateurs Commun, capable de mobiliser autour des indignés, les centrales syndicales, les réseaux associatifs d'éducations populaires, les mouvements et partis politiques en adhésion au projet, les responsables religieux et leurs réseaux... autour de la question centrale: pour stopper la croissance des injustices, stopper la croissance de la bureaucratie inhumaine, stopper la monté de l'individualisme, stopper la toute puissance des marchés donc de l'argent, exigeons de tous nos responsables politiques qu'ils ouvrent immédiatement une réflexion objective sur les référentiels de valeurs. Quelles valeurs commandent notre monde ? Quelles valeurs sont utiles pour le plus grand nombre d'humain ?

 

Dans l'ancien testament, les foules s'étaient écartées de leur créateur et adoraient le veau d'or. Nous sommes retournés à ce stade d'évolution. Dans le nouveau testament, Jésus se mettait en colère il y a 2000 ans, et chassaient les vendeurs du temple. Comment va-t-on chasser les spéculateurs qui créent des richesses sur le dos de la misère ? Croyant ou non, nous ne pouvons ignorer ces références à l'histoire de l'humanité, nous ne devons pas oublier notre histoire et nous pouvons nous appuyer sur elle pour décoder et comprendre les enjeux actuels.      

 

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26 juillet 2011

Belgique: carence de projet politique

Europe, l’exemple Belge :

Depuis le 10 juin 2010, la Belgique fonctionne sans véritable gouvernement. Ce cas peut illustrer ce que le pouvoir politique est devenu. Bien peu de chose au regard du pouvoir administratif des institutions et du pouvoir économique. Ce constat si curieux soit-il est bien dans l’air du temps et en cohérence avec notre modèle d’Europe libérale dans lequel l’Etat Nation n’a plus sa place. Quelle est la réaction de l’institution Europe ? Je n’en sais rien. Soit nos journalistes et nos politiques n’en savent rien également, soit l’Europe n’exige rien… L’Europe semble accorder peu de considération à la démocratie et aux votes de ses citoyens. Ce n’est pas nouveau !   

 

25 juillet 2011

Massacres

Massacre en Norvège :

Qu’il est pénible d’écouter les médias commenter avec ferveur ces actes abominables. Sans prendre de raccourcit on voit arriver directement le lien de cause à effet, le rôle des partis nationalistes qu’il serait judicieux d’interdire car voilà où cela mène. Et voilà en gros ce que j’ai entendu sur les ondes depuis que l’on connait l’identité du fou.

Parti nationaliste ou pas, il y a des fous aujourd’hui comme hier et comme demain.

1500 pages écrites par ce norvégien, ce n’est pas rien, aurons nous droit à de véritables informations à leur sujet ? Ou resterons nous à des banalités de la part des journalistes qui n’investiront pas véritablement ce sujet. Car en termes de responsabilité, nous pourrions nous pencher sur ceux qui ont créée le contexte favorable à cette tuerie. Nous revenons toujours à ces flux migratoires non européens  exagérés qui déstabilisent beaucoup d’européens. Oui les élites libérales au pouvoir, portent une partie importante de responsabilité de ces nombreux désordres parfois dramatiques. Mais de ces responsabilités il n’en n’est pas question. Le simple fait de s’interroger nous catalogue comme extrémiste.

 

Massacre au Rwanda :

Mais où étaient nos journalistes éclairés en 1994 lors des massacres ethniques ?

 Je me rappel du flou artistique qui a entouré cet évènement sans précédent. Je tentais de suivre l’actualité, jours après jours, semaine après semaine, mais d’après les informations qui nous parvenaient, je ne comprenais pas les véritables enjeux. En fin de compte, des tueries se déroulaient à grande échelle sous les objectifs de nos télévisions et les armes de notre armée. « sans précédent » en effet, car ces africains ont obtenus un « rendement » jamais atteint au 20ème siècle, hormis les bombes atomiques sur le Japon, et cela à l’arme blanche, sans camp d’extermination, sans chambre à gaz, sans convois de train, sans gestapo…

Comment cela a-t-il pu être possible ? Quel système politique et journalistique a permis cela ? 900000 morts en 3 mois. Certains reprochent à nos parents ou grands parents d’avoir été « collabo », de ne pas avoir résisté lors de la seconde guerre mondiale. Il n’était pas facile de résister à cette époque, la suprématie allemande était bien réelle, les armes entraient très rapidement en action, la vie ne comptai guère.  Mais en 1994, il était tellement plus confortable et peu risqué d’éviter ce génocide. Quelques régiments de parachutistes, quelques accords politiques avec des alliés, quelques bons reportages clair et net montrant le début des massacres, et l’opinion publique aurai adhéré à l’intervention de nos soldats. On ne peut pas dire qu’en haut lieu on ne savait pas. Je pense qu’une majorité de nos parents et grands parents pouvaient le dire entre 1940 et 1945. Mais notre génération, à l’heure de l’image reine, nous ne pouvons pas dire que l’on ne savait pas et ce, malgré le flou savamment entretenu.

Je n’entrerai pas dans les explications du pourquoi, du comment, même si c’est un sujet qui me tient à cœur, mais je peux remarquer comme vous, que l’engagement de notre armée dépend de paramètres rarement humanistes, que d’autres considérations bien moins glorieuses sont prépondérantes. Pourquoi ne pas engager notre armée à l’étranger, que suite à un référendum organisé après de véritables campagnes d’explications ?

Moralité, il est décevant d’observer nos journalistes à l’œuvre. Dans le cas de la Norvège, il n’y a pas besoin de passer beaucoup de temps sur le sujet, les faits sont là, simples, suffisamment explicite, si ce n’est le fameux texte de 1500 pages où il faudrait peut-être creuser. Mais quand il faudrait décortiquer un peu plus, le Rwanda, la Côte d’Ivoire, la Lybie, l’Afghanistan, les choses restent floues, complexes, on ne nous révèle pas clairement les intérêts des uns et les intérêts des autres, les risques pour les uns, les risques pour les autres, on entretien l’à peu près, l’ignorance. Il est préférable de garder les peuples dans l’à peu près.  

 

24 juillet 2011

Points à développer

  • Limitation du cumul des mandats rémunérés.
  • Sauvegarde du contrat de travail à durée indéterminée.
  • Harmonisation sans nivellement par le bas, des statuts des salariés, fonction public comprise. Tenir compte de ceux des voisins européens les plus proches et les plus semblables.
  • Ventilation des bénéfices.
  • Trouver les 600 millions d’Euro pour finaliser le montage financier du second sarcophage de Tchernobyl. La ville de Lyon aurait déjà pu rassembler à elle seule, plus de 2 millions au lieu de verdir la place Bellecour.
  • Arrêt des événements qui gaspillent l’argent et l’énergie, par exemple : faire apporter de la neige en ville pour créer une piste de ski, créer des plan d’eau indoor pour faire un meeting de planche à voile ou tout autre aménagement de ce type.
  • Défit démographique lié au vieillissement : quelle moyens pour quelle politique gérontologique ?
  • Education Nationale, une nécessité pour l’avenir : quels moyens et quelles réformes musclées pour ce pilier de notre démocratie ?

 

24 juillet 2011

Au delà des constats, des propositions

Avençons quelques thèmes et sujets majeurs, pour que notre société puisse être en capacité rationnelle d’agir sur son destin. Soyons fous, attaquons nous au haut de la pyramide décisionnelle…



1 Environnement et agriculture

Le premier axe, est celui de l’environnement. La terre est notre planète nourricière, dotée de richesses indispensables pour notre survie. Mais nous nous rendons compte que ces richesses ne sont pas sans limite et que notre planète avec 6 milliards d’être humain, ne se gère pas de la même manière que quand elle en portait la moitié. Elle ne se gérera pas de la même façon quand elle en portera 9 milliards, il faut bien que nous nous adaptions et vite. Cette approche doit être une focale systématique dans tout développement économique ou organisation sociale. Ainsi, quels sont les coûts financier et énergétique de la mobilité ? De la vitesse ?  Oui soyons astucieux, créatif, inventons de nouvelles technologies propres. Les sociétés fortes de demain, seront celles qui auront investies ces nouvelles compétences, ne prenons pas de retard, osons l’avenir, créons de l’emploi ! La société qui n’investie pas, ne se donne pas de chance pour son avenir. Interrogeons nous sur le toujours plus d’énergie et pour quoi faire ?

 

L’agriculture est une composante environnementale à prendre comme priorité absolue. Respecter les cultures vivrières, prioriser la production locale, garder la diversité biologique sans faire appel à la génétique, soustraire l’agriculture à la logique des marchés. Il y a quelques années à peine la France disposait de surplus agricoles importants. Aujourd’hui quelques mois de sécheresse au printemps 2011 ont mis en évidence la fragilité de notre agriculture. La logique du flux tendu avec suppression des stocks imposent aux producteurs de faire abattre une partie importante de leurs élevages (sans aucune réaction sur l’irrespect de la vie des animaux, car cela était sans doute le créneau de Brigitte Bardos qui a eu il y 20 ans une certaine proximité avec le FN, alors on ne va pas apporter de l’eau à son moulin ! Où sont les Verts sur cette actualité dramatique ? ) car ils ne peuvent plus acheter le fourrage nécessaire, il semble que des spéculateurs se soient saisis de l’opportunité. Autre exemple, nous devons stopper au plus vite l’utilisation des farines animales qui transforment un animal d’élevage herbivore en carnivore allant jusqu’à manger ses congénères sous forme de farine ! La gestion des semences dénoncée entre autre par Colline Serrault dans son film « Solutions locales pour un désordre global » est également un sujet à traiter prioritairement. Ces sujets touchent avant tout à la santé publique et à la démocratie, puis à l’économie, ils doivent être traités prioritairement nous devons pour cela maitriser notre système économique au service de ces sujets essentiels.   

 

2 Diversité des peuples et place des Etats dans un système économique prégnant

Le second axe, est celui de la diversité des peuples que notre système globalisé cherche au plus vite à harmoniser, à fusionner, à nier, à faire disparaître. En effet notre modèle économique repose sur une mécanique simpliste, la consommation.

Que faut-il pour relancer l’économie ? Il faut relancer la consommation des ménages tout simplement ! Qui n’entend pas cela à longueur de temps depuis des décennies ?   Oui notre société libérale globalisée a besoin pour faire tourner l’économie, de consommateurs au goût standardisé, avec forte couleur anglo-saxonne. Absolument tout est actuellement organisé pour aller dans ce sens, nous transformer massivement et consommateur captif.

Pour arriver à nous rendre captif et malléable, le système actuel entretient savamment la peur. C’est une clé de la réussite. Il faut que les peuples soient tous directement en contact (suppression des frontières, flux migratoires importants sont donc nécessaires) pour que la libre concurrence fonctionne et avec elle, tous les désordres que l’on connait : délocalisations, perte d’emplois, sans papiers… Nous sommes tous des concurrents, la guerre est ouverte entre les peuples pour accéder à l’emploi afin d’avoir un minimum de pouvoir d’achat et ainsi consommer notamment des futilités. Se rajoute le choix délibéré des médias de nous faire trembler chaque jour par une annonce de drame, de catastrophe, si je vous écoute les médias, lundi je ne mange plus de concombre, mardi plus de germes de soja, mercredi plus de steak, jeudi je ne toucherai plus d’oiseau, vendredi plus de porc… Je dois bien comprendre que à chaque instant je suis à la merci d’un monde fou dont plus personne ne maîtrise les fondamentaux, je dois comprendre que si je m’oppose ou réclame, le système me mettra en marge, je serai remplacé par d’autres consommateurs moins regardants, par d’autres travailleurs moins exigeants.

Comment se comportent nos jeunes sur ces sujets de consommateurs captifs ? Lorsque l’on observe les jeunes de ce 21ème siècle, quelle proportion refuse d’être considérée comme un numéro ? Un code ? A partir du moment qu’il possède les vêtements de grande marque, les chaussures à des prix délirants, les gadgets produits marketing issus des nouvelles technologies, le jeune ne se soucie que très peu de son éducation, de sa santé, de son alimentation, de son logement, de sa vieillesse, de solidarité… Oui, les jeunes feront le monde de demain, oui des jeunes se sont regroupés contre certaines réformes, oui en Espagne, en Grèce, en Tunisie certaines jeunesses sont dans la rue. Mais une grande partie de la jeunesse est déjà conquise par ce monde de consommation. Ces jeunes consommateurs sont parfaitement conditionnés à ne pas philosopher, à ne pas s’indigner, à ne pas se révolter, à ne pas se redresser…

Heureusement chaque histoire connait ses incidents ! L’incroyable surprise est devant nous, nous ne pouvons aujourd’hui la deviner, la prévenir, mais il est certain qu’un jour, ce système s’enraillera. Nous devons dès à présent respecter les différences, les identités et refuser de continuer à manipuler et fragiliser les peuples, déréglementer les sociétés. Il est important de sauvegarder aux peuples, leurs histoires, leurs repères. Nos politiques, journalistes et sociologues, qui œuvrent depuis si longtemps à ce travail de réécriture des histoires et des identités, sont coupables de dilapidation du patrimoine mondial. Et pourtant, même si des choses venaient à changer, il est certain que ces mêmes incontournables retomberaient sur leur pied et prendraient le devant des nouvelles tendances. Les plus grands freins au changement sont sans conteste les pseudos élites en place qui se servent du système.

Pour illustrer le montage de l’économie globalisée, je reprends l’image d’une pyramide mais cette fois avec la pointe en bas, en forme d’entonnoir. En bas, dans la petite pointe se retrouvent les grandes fortunes de notre monde (dictateurs, producteurs de pétrole, mafieux et trafiquants, grands patronats, grands politiques, certains sportifs et show bise…) qui par gravité récupèrent la manne provenant des couches sociales très nombreuses plus pauvres mais qui consomment. Chaque pauvre contribue bien évidemment à enrichir le riche, c’est bien connu, c’est chaque jour un peu plus vrai. 

Redonner aux Etats, leur souveraineté, rétablir des contrôles aux frontières, taxer les produits qui ont beaucoup voyagés (donc beaucoup pollués) ou les produits issus de producteurs peu soucieux des droits de l’Homme, limiter les migrations de peuples qui disloquent les sociétés d’origines et celles d’accueil, bref arrêter cette construction européenne qui n’a d’autre sens que d’affaiblir les peuples et de les réduire à de fragiles consommateurs. Il y a tellement mieux à faire avec nos voisins Européens !

 

3 Répartition des richesses

Le troisième sujet concerne donc la répartition des richesses. L’amplitude des revenus, limités de 1 à 20, permettrait de reconnaitre les talents, les valeurs ajoutées et tiendrait compte des valeurs importantes, pour la société, identifiées préalablement. Il me semble suffisamment motivant de me bouger pour gagner 2 fois plus, 10 fois plus, 20 fois plus. Pas vous ? D’autant que celui qui gagnerait plus que la moyenne serait celui qui apporterait le plus à la société humaine. C’est assez valorisant.

 

4 L’économie au service de l’homme

Pour que la répartition des richesses, sans être totalement égalitaire, soit plus en adéquation avec une vision humaniste de la société, il est indispensable de reposer les fondements d’une nouvelle économie.

Il faut réintégrer la priorité au local au détriment du global, c'est-à-dire détricoter ce qui a été mis en place depuis la fin des 30 glorieuses. En globalisant notre économie, la libre concurrence est venue à bout de systèmes d’échanges, de systèmes de productions  anciens. Ainsi l’automatisation, la désindustrialisation, les délocalisations ont enlevés à de nombreux européens dont beaucoup de français, les emplois qui leur permettaient de jouer activement un rôle dans la société, de gagner leur vie et celle de leurs familles. Les emplois les plus simples ont en bonne partie disparus, le choix ( ?) ayant été de maintenir provisoirement les emplois les plus qualifiés sur nos territoires.

Les responsables de ces choix économiques ne sont pas des sociologues, ne sont pas des psychologues, ne sont pas des médecins, ne sont pas des enseignants… Ils ne se sont pas préoccupés de ces millions de personnes qui, pour diverses raisons, ne pourrons jamais occuper ces postes très qualifiés. Le chômage conjoncturel a été remplacé par un chômage structurel massif, le RMI a été mis en place en France, la valeur du travail a été fragilisée. Mais maintenant l’économie ne veut plus prendre à sa charge le coût lié à l’inactivité. Certaines populations fragiles qui cumulent les difficultés sociales sont plus concernées que d’autres. Aujourd’hui malgré des millions de personnes sans emploi en France, certains s’opposent à la régulation des flux migratoires et au contrôle des frontières. Oui les ministres du travail sont sensibles aux pressions exercées par le MEDEF, car le patronat a besoin de main d’œuvre la plus malléable possible. Oui il semble que l’Etat renonce à mettre au travail des millions de jeunes français considérés comme inemployables dans notre économie moderne. Le choix se porte sur le maintient de flux migratoire importants au détriment des habitants de notre pays et de ceux de nos quartier sensibles notamment. Jusqu’où ce système discriminant au possible, peut aller ?

C’est pourquoi il faut repenser la production, raccorder de la valeurs à des tâches socialement importantes mais actuellement, économiquement pas valorisées. Produire localement à un coût de production légèrement supérieur (oui après considération de tous les aspects, de nombreuses expériences de délocalisations montrent les limites de cette organisation : les constats du manque de qualité obtenus, le manque d’infrastructures, le manque de stabilité politique et sociale requestionnent la véritable plus value de la délocalisation), doit être considérer avec la baisse de dépenses sociales engendrées par le retour à l’emploi. Continuer à supprimer toutes les tâches peu qualifiées sur l’hôtel de la rentabilité, ne peut collectivement être accepté. Si la grande surface supprime les caissières, elle peut sur une certaine durée, considérer qu’elle fait une économie de masse salariale. Mais le coût est transposé sur la collectivité, et à ce niveau, le bilan économique n’est pas le même. Nous approchons le principe de privatisation des gains et de nationalisation des déficits. Et là tout à coup, le système libéral qui cherche à diminuer le rôle des états, est bien content d’utiliser le niveau Etat-Nation pour assumer les conséquences.

Sur un plan individuel, bon nombre de travailleurs qui ont la chance d’être en emploi, constate que leur énergie personnelle est grandement consommée au service du travail. Afin d’être performant, afin de ne pas être exclu du système, nous donnons le meilleur de nous même à notre travail et ainsi nous contribuons à développer le système en place. Mais quelle énergie reste-il pour le reste de la vie ? Dans quel état de forme sommes-nous lorsque nous revenons du travail ? Ainsi nous assistons à bien des dysfonctionnements autour de nous mais nous nous disons que nous n’avons pas le temps, que nous courrons toujours. Bref nous nous construisons des alibis pour ne pas intervenir, pour ne pas s’engager, pour ne pas être acteur du changement pour le bien commun. Notre modèle économique avec la guerre-concurrence entre les travailleurs affaibli la société civile, la prive des talents et de l’énergie qui lui manque pour procéder à son renouvellement.

Un autre aspect ne nos choix économiques doit être reconsidéré. Qui ne fait pas le constat que nous avons de plus en plus d’objets mais souvent de qualité inférieure (cf le concept de l’obsolescence programmée) ? Il en est de même dans le bâtiment. Si l’on regarde l’Etat ou les autres collectivités locales, il est de bon ton lors des appels d’offres, de tirer les prix, ce qui a une incidence bien évidement sur la qualité. Si l’on regarde à l’échelle des mandats politiques, le bilan financier est positif, les coûts ont été réduits. Mais cette économie ne résiste pas à la décennie. Nous construisons actuellement des bâtiments privés ou public de piètre qualité. Nous pouvons nous souvenir d’un scandale qui n’a pas fait le bruit mérité, du complexe de cliniques construit à la va vite avenue Berthelot à Lyon.  Il a fallu tout détruire et tout reconstruire suite à un niveau de qualité constaté comme dangereux.

La recherche systématique d’économies doit être reconsidérée par une approche plus globale et plus politique pour ne pas dire philosophique. Il n’est plus possible de traiter la santé comme ce qui se fait aujourd’hui en France. Si c’est le prix à payé pour être bon acteur de notre économie libérale, alors il faut refuser d’être ce bon élève là. Les français confrontés à des problèmes de santé, savent qu’il est de plus en plus préférable d’aller dans des cliniques, car l’hôpital public n’a plus les moyens de fonctionner. Interrogez les chefs de services, ils vous parleront de l’administration qui leur enlève les moyens de travailler correctement. Qu’en est-il de la psychiatrie ? C’est pire. Et cela a des conséquences sur toute la société. Je ne multiplierai pas les exemples, je souhaite rester sur l’exemple emblématique de la santé. Sans accepter les dépenses inutiles, il y a des économies à éviter, s’en est une.

Après ce préalable, je vous propose maintenant, d’avancer quelques thèmes et sujets majeurs, pour que notre société puisse être en capacité rationnelle d’agir sur son destin. Soyons fous, attaquons nous au haut de la pyramide décisionnelle…

                                                             ========================================

Voici le haut de ma pyramide décisionnelle, remplie d’éléments primordiaux. Le reste de la pyramide s’en trouvera totalement changé, d’autres logiques plus accessibles apparaîtront, bref un monde plus humain en sortira.

 

 

 

24 juillet 2011

Le déclic

 

Malika Sorel, une liberté de pensée remarquable

 

Suite à la lecture d’un article sur les propos de Malika Sorel (membre du Haut Commissariat à l’Intégration nommée par le Président de la République) puis à la lecture de son dernier ouvrage, j’ai eu envie de vider dans ces quelques lignes, mes idées que je ressasse depuis tellement d’années.

Je ne peux que recommander de vous connecter régulièrement sur le blog de madame Sorel : http://www.malikasorel.fr/

Oui, il y a quelques années, la construction européenne m’avait déjà fait réagir, j’avais déjà écrit mes observations de l’époque : construction d’une Europe libérale au service des capitaux, des marchés et de la monnaie, une construction antidémocratique bafouant l’histoire et l’identité des peuples, une Europe qui œuvre à supprimer la protection jusque là assurée par les Etats, avant d’avoir construit d’autres formes de protection des peuples européens…

Aujourd’hui, de multiples sujets s’entrecroisent, je vais essayer de les démêler pour mieux les relier ensuite. Bien entendu, ces réflexions sont basées sur des partis pris, elles sont issues d’une culture européenne et démocratique, nourries d’humanisme issue du christianisme, nourries d’idéaux écologiques, inspirées également par des approches de l’Education Populaire.



Est-il possible de sortir des clivages politiques ancestraux gauche/droite ?

Est-il possible de s’affranchir de la pensée unique qui enlise notre société ?

Est-il possible d’oser réfléchir honnêtement, d’échanger simplement et de proposer de véritables solutions dans ce monde si complexe qui échappe au bon sens ?

 

Vous aussi, osez co-construire des alternatives citoyennes et démocratiques qui vous ressemblent… merci de m'envoyer vos idées, vos remarques, vos questions !

 

Je suis seul, vous êtes seul, nous sommes donc plusieurs… probablement nombreux à revendiquer une libre réflexion qui sort des schémas que le système tente de nous imposer.

En effet, pourquoi ne pas oser le renouveau avec le Mouvement de Réflexions et de Propositions Citoyennes ?  

 

 Oui S. Hessel nous transmet son expérience de résistant puis de concepteur des principes de notre république et de notre démocratie, principes totalement mis à mal par notre modèle économique actuel (suppression de la monnaie, suppression du service national, suppression de la régulation aux frontières, suppression de la souveraineté nationale, affaiblissement de nos solidarités nationales…). Osons-nous dire qu’il ne faut pas attendre une guerre sanglante pour rebâtir un projet de société dont une immense majorité de citoyens a besoin. Ce projet source d’espoir est ambitieux, dynamisant, et doit remettre la simplicité au centre de nos méthodes pour que les personnes se l’approprient et le soutiennent.

 

L’objet de ce mouvement :

 

ü  Reconnait que chaque homme né différent des autres et que la nature est inégalitaire, charge en revient à la société d’en réduire les écarts et diminuer les effets

ü  Ne s’aligner sur aucune idéologie politique passée et dépassée : libéralisme globalisé, socialisme, communisme…

ü  Donner à toute personne partageant nos valeurs fondatrices, quelque soit sa couleur de peau, son intimité religieuse et sexuelle, sa nation d’origine, la possibilité de s’engager pour notre projet de société.

ü  Rester indépendant des expressions religieuses tout en respectant celles qui émancipent l’être humain ou celles qui ont contribuées à constituer notre société occidentale.

ü  Soutenir qu’à ce jour, le niveau des « Etats-Nations » garde toute son importance pour les peuples et que sans pour cela exacerber les nationalismes, il faut stopper leur démantèlement au profit d’un niveau mondialisé au service de l’économie libérale.

ü  Ne plus accepter que le modèle économique supplante la pensée politique et la démocratie.

ü  Organiser le modèle économique au service du développement durable, au service de la santé, au service du respect de la personne et des solidarités.

ü  Stopper le principe de libre concurrence qui n’est rien d’autre qu’une guerre économique imposée aux citoyens.

ü  Favoriser le développement des solidarités en instaurant des projets sociaux rassembleurs.

ü  Stopper le modèle globale d’uniformisation en développant et valorisant les différences culturelles.

ü  Définir des règles équilibrées afin d’analyser les problèmes et situations en faisant appel au relativisme, tout en y limitant son usage car le relativisme excessif porte en lui les germes de la régression de la société.

ü  Construire un modèle européen partageant un même référentiel de valeur. Stopper la fragilisation des Etats sans avoir construit une Europe sociale et solidaire permettant à ses peuples de trouver une place pour faire face à la mondialisation. 

ü  Fonder la 6ème république en évitant de faire appel aux élites actuelles qui ont contribué à l’échec de notre société actuelle, mais en impliquant les sages expérimentés de la société civile.          

ü  Créer des espaces d’engagement citoyens (favoriser par exemple l’utilisation des référendums…)

ü  Prioriser la santé l’environnement l’éducation la tolérance et la sécurité pour tous

ü  Respecter les matières premières et naturelles des Etats.

ü  Commercer avec les autre Etats en tenant compte de leur niveau de démocratie et de respect de leur environnement.

 

 

üNe plus accepter de nationaliser les pertes et privatiser les gains

 

 

 

A qui ce mouvement ne s'adresse pas ?

 

üA ceux qui ont intérêt à maintenir le système en place dans lequel ils pensent pouvoir tirer leur épingle du jeu.

üA ceux qui acceptent l’inacceptable avec comme situation symbolique le football professionnel international qui permet à des jeunes de 25 ans de gagner (en jouant au ballon quelques heures par semaine) en un mois, 60 ans d’un travailleur au SMIG.

üA ceux qui pensent que tout déréglementer, délocaliser, déstructurer, est un plus pour les peuples.

üA ceux qui ne voient dans leur mode de vie que mobilité et vitesse.

üA ceux qui ne veulent pas lâcher leurs objets de futile consommation (vêtement de mode, voiture et téléphonie dernier cri…) qui représentent leur identité première loin des valeurs de solidarité sociale et respect environnemental.

üA ceux qui acceptent et contribuent passivement ou activement à affaiblir notre sécurité sociale, notre modèle de santé, notre système de retraite, notre système éducatif, autant de piliers venant en soutient à une cohésion nationale.

üA ceux qui pense que l’approche gauche/droite est encore d’actualité.

üA ceux qui apportent leur confiance aux partis politiques traditionnels de droite, du centre et de gauche, partis garant du maintient des inégalités outrancières.

üA ceux qui ne peuvent accepter au renoncement de certaines choses au profit du projet collectif, et qui par principe d’aucun compromis possible, ne rendent pas possible la construction d’une majorité voulant changer les choses.

üA ceux qui prônent l’absence de pouvoir et préconisent l’anarchie.

 

 

 

 

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